En dépit de nombreux travaux parlementaires sur la décentralisation, le système de gouvernance des Établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) peine encore à convaincre. 

Bien que les nombreux transferts de compétences fassent de l’EPCI un acteur clé de l’action locale, cette note propose de repenser leur gouvernance en mettant la transparence au service de la confiance réciproque et de relations reconsidérées.

D’après un récent sondage de l’IFOP, 85% des Français estiment que l’intercommunalité est bénéfique, en raison de son efficacité sur la commune.

Toutefois, seuls 75% des Français savent que leur commune appartient à un EPCI, 68% en connaissent le nom, et 43% le nom du président.

Bien que ces chiffres suscitent des interrogations et des critiques, ils doivent être analysés en tenant compte de l’évolution normative souvent fluctuante de l’échelle intercommunale.

Lire la note complète de l'Observatoire de l'Ethique publique, 11/07/2024 :  "Repenser la gouvernance des EPCI"

 

Source :ID-Cités, 12/07/2024