Pour la première fois, une étude de Santé publique, publiée le 29 janvier 2025, analyse l’impact de l’exposition de la population aux particules fines (PM2,5) et au dioxyde d’azote (NO₂) sur le développement des maladies chroniques, tout en évaluant les répercussions économiques associées.

Entre 2016 et 2019, la concentration moyenne de particules fines en France s’élevait à 9,6 microgrammes par mètre cube (µg/m³) par an, tandis que celle du dioxyde d’azote atteignait 22,7 µg/m³ dans les grandes agglomérations. Ces niveaux dépassent les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui préconise une limite annuelle de 5 µg/m³ pour les particules fines et de 10 µg/m³ pour le dioxyde d’azote.

Au sommaire : 

  • Un "fardeau" pour la santé
  • Renforcer les actions pour réduire la pollution de l'air

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Source : Id-Cités, 07/02/2025